A toi qui ne juges pas
Et dont le visage respire la tolérance ;
A vous qui attendez et espérez,
Que la vie a subitement figées ;
A elle qui ferme les yeux
Et cherche l’âme au plus profond de son être ;
A la mère qui patiemment nourrit,
Prodigue sa tendresse et son amour
Et que la maternité a magnifiée ;
A l’enfant que nous avons été,
A son innocence et ses rêves,
Ceux qu’il ne faut pas oublier ;
A la vieillesse qui nous guette
Avec en crédit, peut-être, la sagesse
Qui nous fera supporter la douleur ;
A eux, les compagnons d’un moment ou d’une vie
Leurs pas à côté des nôtres,
Complices de tous les instants ;
A nous toutes enfin
Que nos aspirations communes réunissent,
Ces quelques pensées reconnaissantes
Une onde de gratitude bienveillante
Promesse de quiétude, douceur et sérénité.
D .C.
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